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Ma petite maternité de province

Publié par Madamezazaofmars sur 12 Décembre 2013, 08:35am

Catégories : #Zozo et les minots

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La première fois que j'y suis allée c'était un peu par hasard, un peu par la force des choses. C' était la maternité la plus proche de la maison.Six kilomètres même si le travail est bien avancé ça n'est pas le bout du monde. Ma tante y travaillait aussi, ça entretient une certaine confiance. Et puis ma mère avait accouché là bas. Le faire au même endroit qu'elle, 30 ans après, ça avait une sacrée valeur symbolique pour moi.

 

Je ne l'avais pas visité mais j'y avais fait toutes mes visites avec une sage femme. Elle était âgé  mais pleine d'énergie et toujours passionnée par son métier.

 

Côté accouchement, le jour J, on ne peut pas dire que ça se soit très bien passé. Une femme qui n'a pas su gérer la douleur, moi. Un anésthésiste qui rate sa piqure, qui la refait une fois puis deux, un con dirait Zozo. Un coeur de bébé qui ralentit, des ventouses, et heureusement au milieu de tout ça, une sacrée équipe pour m'entourer. Et c'est là que j'ai su que j'avais fait le bon choix.

 

J'ai retrouvé cette même bienveillance tout au long de mon séjour. Quand mon allaitement démarrait mal, quand le troisième jour mes larmes ont coulé, quand j'avais mal, il ya toujours eu quelqu'un pour me montrer, me conseiller ou tout simplement m' écouter.

 

J'y suis donc tout naturellement retournée pour Jajaja. Le batiment était en plein travaux, avec l'électricité qui sautait parfois, le froid en plein mois de décembre, les douches dans le couloir, mais toujours une super équipe qui en venait presque a me faire oublier tout ce qui n'allait  pas. Et puis cette fois là mon accouchement s'était tellement bien passé.

 

Des dames qui servaient les repas et nettoyaient la chambre en passant par les auxiliaires puéricultrices, les infirmières, les sages femmes, les médecins, il n'y a pas une personne qui n'ait pas été  disponible, souriante, respectueuse de ma personne et de mon bébé.

 

Et c'est avec une certaine émotion que je suis allée y donner la vie une dernière fois. C'est là bas que j'ai fait mon suivi, ma préparation avec la même sage femme que trois ans auparavant. D'aileurs j'en ai croisé des visages familiers au fil des mois.

Pendant toute la journée du déclenchement, il ya toujours eu quelqu'un que ce soit pour des choses agréables comme répondre à mes questions, s'assurer que j' allais bien, comme les moins agréables avec des contrôles à répétition.

Et pendant l' accouchement un soutien sans faille de la sage femme et de l'auxiliaire de puériculture, par leurs gestes, leurs paroles, m'a en plus de celui de Zozo vraiment aidé.

 

Les petits déjeuners apportés avec le sourire, les visites tout au long du séjour pour s'assurer que j'avais moins mal, oui pour un troisieme on a encore plus mal, les soins quotidiens au bébé donnés à la nurserie ou on nous guidait pas à pas, comme pour un premier bébé, sans nous juger jamais, la tisane du soir vers 22 heures comme un petit rituel du coucher avec l'équipe de nuit qui s'assurait que tout allait bien.

 

Et ma sage femme tocquant à la porte de ma chambre le lendemain de mon accouchement pour savoir comment ça s'était passé et prendre des nouvelles.

 

Tout ça explique peut être d'abord pourquoi mes séjours à la maternité ne m'ont jamais paru trop longs, au contraire, je les ai toujours trouvé parfait. Jamais chouchoutée comme je l'ai été je n'aurais voulu sortir avant.

 

Et quand je suis partie cette fois ci, je savais que c'était la dernière fois que je les voyais et quitter des gens qu'on connait depuis 7 ans, même si on ne les voit pas beaucoup, même si c'est court, ça m'a rendu vraiment triste, les hormones aidant aussi sûrement.

Et même si pour eux je ne suis qu'une jeune maman parmi tant d'autres,  ils ont su durant chacun de mes séjours, me faire me sentir unique.

 

Alors voilà, je voulais  rendre hommage,  à cette "petite" maternité qui voit naître 800 bébés par an, à cette équipe qui respecte les souhaits de chaque femme enceinte,  qui s'occupe plus que bien de chaque bébé venu au monde et de leur maman, à ces femmes et ces hommes qui le méritent.

 

Je sais qu'il y a surement de meilleures maternités que celles ci, des bien pires aussi, mais si je devais refaire un bébé un jour (ce qui n'arrivera pas), c'est là bas que j' irais, les yeux fermés, leur confier ma grossesse, mon accouchement, mon bébé.

 

J'aime ma petite maternité de province.

 

Bon tout ce que j'essaie de dire depuis le début c'est merci à toute l' équipe de la maternité de Pertuis, en espérant que peut être quelqu'un de là bas me lira.

 

MERCI...

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B
Marion née fin février 1980. Comme pour quelques enfants du village de Puyloubier la naissance ne pouvait avoir lieu qu’à Pertuis, soit un peu plus de 40 kms. Pourtant Aix en Provence 20 kms, plus proche était bien pourvue de ce type d’établissements. <br /> La maternité de Pertuis dirigée par Catherine Barret avait était décorée par des parents. Couloirs éclairés d’une lumière tamisée, mur peints de couleurs pastel. Rien de ce que l’on pouvait trouver dans les services hospitaliers de l’époque. Nous étions accompagnée par une photographe Béatrix Von Conta * qui suivait plusieurs familles afin de faire un livre. Elle pouvait circuler comme elle voulait dans le service. <br /> Je décidais de rester prés de Marie Pierre durant la semaine prévue, hé oui ! Une semaine, à Pertuis on ne renvoyait pas les familles au bout de trois jour.<br /> On m’installe un matelas part terre auprès de Marie Pierre, à mon avis cela ne doit plus se pratiquer.<br /> Monitoring. Tout est parfait, direction salle de travail.<br /> Une bonne chose. Nous n’étions pas déguisé en employés de charcuterie industrielle.<br /> Les sages femmes sont là deux je crois. Christiane, la Kiné, qui faisait je m’en souviens du cheval. Je ne sais pas ce quelle est devenue, mais je lui adresse mes pensées les plus amicales et Catherine. <br /> Emploi de petits arguments pour que Marion sorte. <br /> Et la voilà. <br /> A préciser que nous nous foutions du sexe et nous avions demandé à l’équipe, si elle le percevait, quelle ne nous dise rien. Est il nécessaire de préciser que dans cette maternité on respectait nos choix.<br /> Nous nous étions fait une amie dans la chambre d’à coté, j’y reviendrais.<br /> Installation dans la chambre, avec Marion bien sûr, étant un peu plus valide que Marie Pierre, je suis les puéricultrices pour une formation rapide et intensive de pose de couches, et autre actions de ce genre à faire avec un bébé. A préciser que nous avions décidé de la masser – Puyloubier était à l’époque un village peuplé de baba-cools<br /> On me montre comment faire en faisant preuve d’une certaine énergie ; que je n’aurais jamais oser employer.<br /> La nuit arrive, moment de pur bonheur, que d’aller à salle de puériculture avec Marion dans les bras, la changer, la peser. Discuter à voix basse avec ces femmes en blanc. Tout est calme et volupté, comme aurait dit Baudelaire.<br /> Je ne sais pas comment, mais notre voisine était en train d’accoucher, elle sait que je suis à coté, elle m’appelle. <br /> Marion et moi nous nous retrouvons auprès d’une nouvelle maman et d’un petit bout de choux fraichement livré..<br /> Les jours passent et à regret nous quittons ce lieu de chaleur.<br /> Pour l’arrivée de Marion, nous faisons une fête à Puyloubier, , seront présents tous les petits de Pertuis, Catherine sera là aussi, une amitié s’installe.<br /> Mais ce n’est pas fini.<br /> Six mois après, notre voisine et amie, commence à percevoir des contractions. Auparavant nous nous avions convenu que si son compagnon n’était pas là je la conduirais à Pertuis.<br /> Ce fut le cas. Direction Pertuis. Marie Pierre reste à la maison le temps de faire garder Marion.<br /> Arrivé là Véro me demande de rester dans la salle de monitoring, certaines sages femmes me regarde d’un air inquisiteur. Maintenant il faut aller en salle de travail.<br /> « A toute à l’heure Véro » « Pas question tu restes avec moi » En six mois ce sera mon deuxième accouchement. <br /> Là les sages femmes sont interloquées. Je ne le saurais qu’après. Mais dans leur esprit j’étais un beau salaud, venir une première fois avec sa femme et quelque temps après avec sa maitresse ! <br /> Marie Pierre avait trouvé une maison pour accueillir Marion, elle arrive.<br /> Les sages femmes la reconnaissent. Mon honneur et sauf.<br /> En six mois deux cordons ombilicaux.<br /> Le troisième arrivera en 1986 avec Léa.<br /> Et nous apprendrons avec une très grande tristesse que Catherine avait eu un accident de voiture en Espagne.<br /> Avant elle aura été félicitée par le professeur Alexandre Minkowski, très grand pédiatre, et homme de culture.<br /> On peut lire à son sujet « Qu’il est connu notamment pour avoir dit du système d'éducation français, que c'était une remarquable machine à fabriquer des crétins »<br /> Une belle reconnaissance pour une gynécologue de grandes qualités humaines.<br /> <br /> Merci Catherine pour ton humanité.<br /> <br /> * Ce travail donne lieu, en 1982 à la publication du livre Ein Kind fällt nicht vom Himmel (Un enfant ne tombe pas du ciel) Edition DuMont
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B
Marion née fin février 1980. Comme pour quelques enfants du village de Puyloubier la naissance ne pouvait avoir lieu qu’à Pertuis, soit un peu plus de 40 kms. Pourtant Aix en Provence 20 kms, plus proche était bien pourvue de ce type d’établissements. <br /> La maternité de Pertuis dirigée par Catherine Barret avait était décorée par des parents. Couloirs éclairés d’une lumière tamisée, mur peints de couleurs pastel. Rien de ce que l’on pouvait trouver dans les services hospitaliers de l’époque. Nous étions accompagnée par une photographe Béatrix Von Conta * qui suivait plusieurs familles afin de faire un livre. Elle pouvait circuler comme elle voulait dans le service. <br /> Je décidais de rester prés de Marie Pierre durant la semaine prévue, hé oui ! Une semaine, à Pertuis on ne renvoyait pas les familles au bout de trois jour.<br /> On m’installe un matelas part terre auprès de Marie Pierre, à mon avis cela ne doit plus se pratiquer.<br /> Monitoring. Tout est parfait, direction salle de travail.<br /> Une bonne chose. Nous n’étions pas déguisé en employés de charcuterie industrielle.<br /> Les sages femmes sont là deux je crois. Christiane, la Kiné, qui faisait je m’en souviens du cheval. Je ne sais pas ce quelle est devenue, mais je lui adresse mes pensées les plus amicales et Catherine. <br /> Emploi de petits arguments pour que Marion sorte. <br /> Et la voilà. <br /> A préciser que nous nous foutions du sexe et nous avions demandé à l’équipe, si elle le percevait, quelle ne nous dise rien. Est il nécessaire de préciser que dans cette maternité on respectait nos choix.<br /> Nous nous étions fait une amie dans la chambre d’à coté, j’y reviendrais.<br /> Installation dans la chambre, avec Marion bien sûr, étant un peu plus valide que Marie Pierre, je suis les puéricultrices pour une formation rapide et intensive de pose de couches, et autre actions de ce genre à faire avec un bébé. A préciser que nous avions décidé de la masser – Puyloubier était à l’époque un village peuplé de baba-cools<br /> On me montre comment faire en faisant preuve d’une certaine énergie ; que je n’aurais jamais oser employer.<br /> La nuit arrive, moment de pur bonheur, que d’aller à salle de puériculture avec Marion dans les bras, la changer, la peser. Discuter à voix basse avec ces femmes en blanc. Tout est calme et volupté, comme aurait dit Baudelaire.<br /> Je ne sais pas comment, mais notre voisine était en train d’accoucher, elle sait que je suis à coté, elle m’appelle. <br /> Marion et moi nous nous retrouvons auprès d’une nouvelle maman et d’un petit bout de choux fraichement livré..<br /> Les jours passent et à regret nous quittons ce lieu de chaleur.<br /> Pour l’arrivée de Marion, nous faisons une fête à Puyloubier, , seront présents tous les petits de Pertuis, Catherine sera là aussi, une amitié s’installe.<br /> Mais ce n’est pas fini.<br /> Six mois après, notre voisine et amie, commence à percevoir des contractions. Auparavant nous nous avions convenu que si son compagnon n’était pas là je la conduirais à Pertuis.<br /> Ce fut le cas. Direction Pertuis. Marie Pierre reste à la maison le temps de faire garder Marion.<br /> Arrivé là Véro me demande de rester dans la salle de monitoring, certaines sages femmes me regarde d’un air inquisiteur. Maintenant il faut aller en salle de travail.<br /> « A toute à l’heure Véro » « Pas question tu restes avec moi » En six mois ce sera mon deuxième accouchement. <br /> Là les sages femmes sont interloquées. Je ne le saurais qu’après. Mais dans leur esprit j’étais un beau salaud, venir une première fois avec sa femme et quelque temps après avec sa maitresse ! <br /> Marie Pierre avait trouvé une maison pour accueillir Marion, elle arrive.<br /> Les sages femmes la reconnaissent. Mon honneur et sauf.<br /> En six mois deux cordons ombilicaux.<br /> Le troisième arrivera en 1986 avec Léa.<br /> Et nous apprendrons avec une très grande tristesse que Catherine avait eu un accident de voiture en Espagne.<br /> Avant elle aura été félicitée par le professeur Alexandre Minkowski, très grand pédiatre, et homme de culture.<br /> On peut lire à son sujet « Qu’il est connu notamment pour avoir dit du système d'éducation français, que c'était une remarquable machine à fabriquer des crétins »<br /> Une belle reconnaissance pour une gynécologue de grandes qualités humaines.<br /> <br /> Merci Catherine pour ton humanité.<br /> <br /> * Ce travail donne lieu, en 1982 à la publication du livre Ein Kind fällt nicht vom Himmel (Un enfant ne tombe pas du ciel) Edition DuMont
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L
Ce serait drôlement chouette que quelqu'un te lise ;-) je trouve ton témoignage très bien et touchant.j'ai accouché à 35 km de la maison,ici,les maternités ferment les unes après les autres, mais<br /> dans la ville ou j'ai accouché il y a plus de 3 ans maintenant tout est identique ou presque à la tienne. L'équipe ledicale était extra et pour des tas de raisons diverses, à chaque fois que je<br /> reviens dans le service je ne manque pas d'aller voir la sage femme qui m'a faite accoucher et je pleure devant elle .elle a été géniale, j'avais peur, mal, elle a su faire tout ce qu'il fallait!
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N
Oui oui, et il y a même des nanas de "chez moi" qui vont accoucher là-bas ^^
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A
C'est tellement bien qu'il reste des petites maternités ou l'on se sente bien et de proximité!<br /> Bel article!<br /> <br /> Bon weekend
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M
<br /> <br /> Oui le côté humain, ça compte énormément<br /> <br /> <br /> <br />
N
C'est vrai que je n'en entends que du bien ...<br /> En tout cas s'ils te lisent ça doit leur faire chaud au cœur !
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M
<br /> <br /> Ah oui on en parle jusque vers chez toi  ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Enfin on est pas si loin ;-)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
D
Bonsoir ! merci pour cette jolie lecture que vous venez de m'offrir !!!<br /> Je suis doublement émue, car j'ai travaillé dans cette maternité ( de 2006 à 2011, infirmière) et j'ai eu mes 20 enfants aussi là bas. Ce que vous dites est vrai et tres beau. Une équipe comme ça,<br /> je n'en connais pas d'autres !! merci encore pour ce jolie témoignage, à l'heure où les petites maternité sont vouer à disparaitre, pour faire place à des grandes maternité inhumaines.
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M
<br /> <br /> On s'est peut etre croié alors en 2006 et en 2010 ;-)<br /> <br /> <br /> <br />
N
Un très joli billet, en émotions et tendresse !
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M
<br /> <br /> Merci<br /> <br /> <br /> <br />
M
c'est un bon séjour à la maternité<br /> <br /> Pour Audray, j'ai eu l'honnheur d'avoir eu une de mes copines de collège qui travaillait à l'hôpital, ça m'a fait tout drole, mais ça été un bon moment<br /> <br /> Mélanie
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M
<br /> <br /> ah oui ça doit etre sympa aussi<br /> <br /> <br /> <br />
S
Très beau et émouvant billet! Je suis ravie de lire ça car étant en essai bébé, j'aimerais bien accoucher là bas dans l'idéal :)
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M
<br /> <br /> Je ne pourrais que vous conseiller de le faire<br /> <br /> <br /> <br />
A
Ca me rappelle quelque chose la piqure qui ne fonctionne pas... 6 piqures pour qu'au final l’anesthésiste m'endorme que le genou gauche (super pratique...), sa réponse : "je suis pas contente de ma<br /> péridurale", nan sans déconner grrr Mis à part çà, dans ma maternité ils étaient aussi plutôt sympa, si Mogwai 2 il y a, je n’hésiterai pas à y retourner. Bises.
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M
<br /> <br /> C'est bien  de savoir qu'il y a un endroit qu'on aime pour donner la vie, c'est important<br /> <br /> <br /> <br />
M
C'est chouette d'avoir vu la même équipe.<br /> J'aimais ma petite maternité privé, ami des bébés, et elle m'a manqué pour mon 3ème accouchement, par contre, je ne me souvenais de personne dans l'équipe ;)
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M
<br /> <br /> Je ne t'ai jamais dit que je suis très physionomiste ? ;-)<br /> <br /> <br /> <br />
B
bouh c'est avec beaucoup d'émotions que j'ai lu ton si joli récit
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M
<br /> <br /> Merci ma belle<br /> <br /> <br /> <br />
J
trop bien !! J'ai bossé comme infirmière il y a 3 ans et j'ai accouché la bas l'année dernière!!! Je transmets ce temoignage touchant aux filles !! Elles vont être RAVIES!!! Merci
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M
<br /> <br /> MErci beaucoup !<br /> <br /> <br /> <br />
P
Très beau billet, et quelle chance d'avoir rencontré une équipe de soignants formidable. Comme quoi, c'est l'humain qui compte.
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M
<br /> <br /> Je suis bien d'accord<br /> <br /> <br /> <br />
N
Cette photo de ton fils en noir et blanc est saisissante.
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M
<br /> <br /> Merci, je l'adore, et c'est même la photo du faire part<br /> <br /> <br /> <br />
S
Je te comprends.<br /> Je crois que qq part, je suis contente d'avoir accouché en Inde et pas en France (région parisienne) ds une de ces énormes maternités (j'aurais évité les cliniques).<br /> En Inde, c'était une "petite" structure, très chouette... à échelle humaine avec des chouettes nannies.<br /> C'est important ces 1ers instants où on devient maman...
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M
<br /> <br /> Oui, le souvenir qu'on en aura passe aussi par les gens qui nous entourent pendant ce moment unique<br /> <br /> <br /> <br />
A
Joli billet ! J'espère que j'en trouverai une aussi accueillante quand le temps sera venu.:)
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M
<br /> <br /> Je te le souhaite<br /> <br /> <br /> <br />
V
Un beau témoignage... qui montre que la concentration de moyens ne fait pas tout si l'humain est absent ;)
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M
<br /> <br /> Amen ;-)<br /> <br /> <br /> <br />
M
Très chouette témoignage de confiance pour cette maternité!<br /> C'est vraiment super pour le symbole aussi (ta mère, puis toi)! plein de bisous à vous 5
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M
<br /> <br /> Merci beaucoup<br /> <br /> <br /> <br />