L'année dernière j'avais découvert et partagé sur le blog les photos de deux photographes japonais qui excellaient dans les portraits en lévitation.
Et il y a quelques jours, je suis tombée sur une nouvelle série de portraits qui défie la gravité.
Mickael Jou est un artiste, un danseur franco américain qui s'est lancé dans un projet photo "365 self-portrait project " mais d'une manière un peu particulière. D'abord parce qu'il il a voulu mêler ses deux carrières créatives, c'est à dire la danse et la photographie et parce qu'il a choisi de prendre ses clichés dans des lieux du quotidien.
Et voilà qu'un supermarché, un parc, un musée, une terrasse de café se retrouvent sublimés par la présence de Mickael, par sa manière d'être comme suspendu dans l'air, en apesanteur, jouant et se fondant totalement dans l'environnement qu'il a choisi.
Alors comment fait il ? Il joue avec la vitesse d'obturation de son appareil et une télécommande, coordonnant au moment voulu les mouvements de danse et la technologie. Certaines photos prennent quelques minutes à faire, d'autres beaucoup plus.
Mais le résultat en vaut vraiment la peine. Sa maitrise de la danse comme de la photographie est impressionnantes et toutes ses photos sont à mes yeux juste pleine de grâce et de poésie.
Je vous laisse en découvrir quelques unes ( cliquez pour agrandir)
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